le voyage des haïkus

Un monde miniature. Des mots dans un étang, un train en mouvement perpétuel et des poèmes cachés dans la forêt.


à propos

Schéma simplifié de l'installation

C'est à Montréal que l'installation a vu le jour pour la première fois. Elle est la plus récente forme d'une recherche autour du hasard poétique.

L'un des premiers haïkus de l'histoire -par Bashō (芭蕉)- allait comme ceci:
Un vieil étang
une grenouille plonge.
Bruit de l'eau.

le voyage des haïkus est une invitation ouverte aux spectateurs. Ils peuvent associer leurs pensées spontanées dans une soupe de lettres perpétuellement remaniée par le passage du train.

Du bout des doigts, chacun tapote ses embryons d'idées sur le clavier. Les lettres jaillissent comme des molécules gustatives pour composer la saveur unique de chaque mot. Une ballade mélodique résonne alors dans l'eau du lac et s'imprime dans la forêt.

À chaque tour, l'oeil sensible de la locomotive redécouvre de nouvelles associations de mots et de vers. Une empreinte poétique invisible pour presque tous les humains.

les personnages

le train

le train

le phare

le phare

le clavier

le clavier

les lettres

les lettres

le lac

le lac

les mots

les mots

la forêt

la forêt

la mémoire des arbres

la mémoire des arbres

lieux

contact

Philippe Dubost email / www / vimeo / github

équipe

Réalisation Philippe Dubost
Conception Mylène Chabrol, Marina Malkova, Amahl Hazelton, Philippe Dubost
Installation Sylvain Brochu, Maxime Lapraye
Matériau Tubes Yves Béchard - polyalto.com
Caméra Yasuko Tadokoro, Philippe Dubost, Amandine Pison
Montage Philippe Dubost
Musique Pierre Millanvois
Photos Yasuko Tadokoro

Merci à Amandine Pison, Thien Vu Dang, Charlotte Risch, Benoit Chuniaud, Isabelle Guichard, Marc Savard, Dax Dasilva, Michael Venus, Never Apart, MAPP MTL, Moment Factory et tous ceux qui ont rendu le projet possible.